Photographier...
- La couleur du deux
- 15 sept. 2016
- 1 min de lecture

"Des paysages désolés, des villages dévastés. Une maison en ruine, où on pouvait apercevoir la tête d’un petit ours en peluche qui se dégageait des décombres. Un enfant seul et triste assis à côté de ces ruines, qui avaient sans doute un jour été sa maison. Pas de cadavres sanguinolents ou de photos à sensation, non. Mais la violence était là, omniprésente. Et si le décor était clairement planté, ce sont surtout des portraits et des visages qui remplissaient ces pages. Le photographe semblait s’attacher tout particulièrement au regard de ses sujets, cherchant à capter les pensées et les non-dits."
コメント